Fitness, développement personnel, chorégraphie. Les reines de beauté seront départagées le 22 juillet au palais des sports du Gosier lors du concours de Miss Guadeloupe.
Elles sont douze. Elles sont belles. Évidemment. Toutes briguent le titre de Miss Guadeloupe dont le concours aura lieu le 22 juillet au Palais des sports du Gosier. Le vainqueur de ce concours de grâce et de beauté sera candidate à celui de Miss France, véritable show télévisé sur TF1, qui se déroulera en décembre à Châteauroux. En attendant le sacre, ces jeunes filles âgées de 17 à 20 ans ont d›ores et déjà commencé à cultiver l›art d›être belles. Elles ont fait plusieurs apparitions en public. À Milénis et chez Impec, maison de vins et de champagnes. Maître d›œuvre de l’organisation, Didier Ochiste a été missionné par la société Miss France pour encadrer les miss et organiser Miss Guadeloupe. Il explique que les apparitions en public des reines de beauté sont plus que de simples tours de chauffe. » Les filles sont réunies tous les jours selon un programme bien défini. Nous avons mis en place une véritable préparation « . Marvin Mézière crée les tableaux artistiques et les chorégraphies au cours desquels elles apprennent à soigner leur prestance, à se mouvoir et à évoluer sur une scène.
» C’est du boulot «
Didier Ochiste précise qu’un coach exigeant veille à ce que les candidates gardent la forme. Un autre, Ginette Samson, peaufine leur image personnelle. Francesca Sidanbarom est le coach du développement personnel, Christelle Collot est la chaperonne. Elle veille à ce que les filles soient belles et bien dans leur peau. Sandra Bisson ex-première dauphine de Miss France veille à ce que les codes de Miss France soient respectés. Les candidates n’ont pas l’air de se plaindre du travail et de la discipline qui leur est imposée. Andrée Corosine qui s’occupe de la communication de cette équipée estime qu’une bonne préparation est indispensable à la tenue de la manifestation : » Être belle c’est du boulot « , prévient-elle.
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